En ce mois de juillet, il fait plutôt beau et la route est très agréable à parcourir. L’autoroute en bord du lac Léman n’est pas très encombrée et je peux rouler cool sans risquer d’être en retard à mon rendez-vous. Il ne me reste que quelques kilomètres à parcourir avant de la quitter et d’arriver à Gstaadt. Trouver ensuite l’hôtel ou je dois aller ne devrait pas être compliqué, le GPS aidant et la signalétique concernant les hôtels comme les équipements touristiques étant parfaite en Suisse!
Je dois y rencontrer un couple dont j'ai fait la connaissance sur ce fameux site franco-canadien de rencontres. Ils cherchaient pour satisfaire Madame des hommes avec des caractéristiques sexuelles minimum sur lesquelles elle avait particulièrement insisté. Elle était très exigeante non seulement sur des centimètres mais aussi sur des durées.... Il avait fallu faire une cam assez longue et j'avais compris à son sourire que je satisfaisais ses exigences. Par ailleurs son mari m'avait indiqué, lors de contacts hors de la présence e son épouse, qu'elle aimait bien être un peu chahutée, insultée, qu'elle aimait les mots crus avant de m'avouer à demi-mots qu'il ne l'avait jamais sodomisée et que c'était un de ses objectifs même si, elle, n'était pas au courant et s'y refusait. Il l'avait offerte déjà à quatre hommes et elle leur avait fermement refusé son petit trou. J'étais leur cinquième expérience et je devais la sodomiser et le laisser la prendre la suite, si possible. Ca, c'était la partie du plan qui me paraissait la plus difficile, surtout parce qu'elle n'en avait pas vraiment envie. Ca risquait de s'apparenter à un viol.
Quelques minutes plus tard, en entrant dans le hall de cet hôtel, j’ai l’impression de changer de monde. Dire que là, tout n’est que luxe, calme et ( bientôt, j’espère :) ) volupté, n’est pas exagéré ! Ambiance feutrée dans un décor bois de chalet suisse tel qu’on l’imagine…. Style suranné avec des équipements et matériaux ultra-modernes…. Calme, ambiance feutrée…… Pendant l’hiver, l’hôtel doit afficher complet, pendant la saison d’été, c’est beaucoup plus calme.
J’arrive avec un peu d’avance mais j’aperçois avant même d’entrer dans le salon attenant au bar le couple avec lequel j’ai rendez-vous. Hélène et Marc. Hélène et Marc ont environ 45 ans, ils sont français mais habitent et travaillent tous les deux à Bâle. Lui est cadre sup. dans une grosse société pharmaceutique. Elle est professeur de français. Un couple aisé qui m’a contacté sur ce site il y a quelques semaines. Nous avons sympathisé et Marc a convaincu Hélène de cette rencontre aujourd’hui à Gstaadt. Ce que dit Marc à Hélène, c’est qu'il veut la regarder se faire prendre par un homme qu’elle ne connaît pas ou très peu mais juste assez pour que ses inhibitions ne la bloquent pas complètement. Moi, je sais qu'il en veut plus.
Pour l’instant, c’est le moment des salutations d’usage, des poignées de main et des bises pudiques.
« Philippe, le sauna n’est libre que d’ici une quinzaine de minutes, vous prendrez bien un verre avec nous avant d’y aller? »
« Avec plaisir, bien sur ! Au fait, pourquoi le sauna ? Pas la chambre ?»
« Vous verrez, c'est calme, c'est chaud, il y a tout ce qu'il faut pour passer un agréable moment... »
Je profite de la discussion pour examiner Hélène qui le remarque sans s’en offusquer et en joue même un peu. Hélène est une femme mince, plutôt grande avec une poitrine bien présente . Elle est bronzée par les quelques randonnées qu’elle a fait depuis le début de la semaine et sa robe blanche légèrement décolletée lui sied à merveille. Elle croise et décroise les jambes jusqu’à ce que sa robe découvre ses cuisses assez haut sans montrer les traces d'une quelconque culotte. Un string ?
« J’espère que vous n’êtes pas trop déçu de nous voir en vrai ! »
« Pourquoi le serais-je ? Vous savez, le téléphone, et puis skype, on se rend compte si on a envie d’aller plus loin avec les personnes avec lesquelles on est en contact ; Je peux vous poser la même question ? »
C'est Hélène qui a répondu en premier.....
« Vous avez raison, c’est vrai. Non, moi, je ne suis pas déçue et je crois comprendre que Marc ne l’est pas non plus, n’est-ce pas, chéri ? »
« Bien sur que non, pourquoi le serais-je ? Hélène a raison. »
Elle a beau approuver, néanmoins, je la sens un peu crispée et tendue mais c’est normal. En plus, pendant nos cams sur skype, elle s’était montrée un peu réservée du fait de mon âge, de ma couleur de peau….. Je sentais qu’elle avait un peu cédé à l’insistance de son mari plutôt qu’à mon charme naturel….
Une fois nos verres terminés, Marc nous a suggéré de le suivre. Marc avait réservé pour le créneau 16h-18h. Nous sommes donc descendus au sous-sol. Le sauna est installé dans une pièce sans fenêtre, assez grande pour y trouver des toilettes, une douche, un coin salon avec 4 chaises longues, une bibliothèque et, bien sur, la cabine du sauna. Une décoration et une qualité de prestation à l’image du reste de l’hôtel. On prend quelques minutes pour regarder la qualité des faïences, le genre de livres à disposition. Marc commence à déboutonner sa chemise et à l’enlever.
« Je vais aux toilettes, je vous laisse commencer, si vous voulez. »
Un fois Marc disparu dans les toilettes, Hélène se tourne vers moi :
« Philippe, je vous en prie, ménagez-moi, je suis une petite chose fragile. »
C’est vrai qu’elle paraît sincère quand elle dit ça. J’aimerais la rassurer….. J’aimerais la convaincre que je ne veux que son plaisir consenti et que je ne suis pas une brute….. Elle commence à déboutonner ma chemise…… Je descend la fermeture éclair de sa robe. ….. Elle enlève ma chemise….. Commence à défaire la boucle de la ceinture de mon pantalon…… Sa robe tombe à ses pieds…. Elle se retrouve en string et soutien-gorge….. Croise ses bras devant ses seins par réflexe…..
Alors je prends doucement ses mains….. Elle n’oppose pas de résistance….. Je pose ses mains sur mes épaules….. Je la prends dans mes bras sans la serrer et l’embrasse doucement sur la bouche. Elle ferme les yeux mais se prête au jeu avec bonne volonté et bientôt sa langue ne fait aucune difficulté pour s’enrouler autour de la mienne pendant qu’une de mes mains dégrafe son soutien-gorge et la caresse des épaules jusqu’au bas du dos…… Même plus bas….. Surtout plus bas…. Mes caresses remontent dans son dos et passent devant sur ses seins…. Puis je change de main jusqu’à ce que quelques soupirs faibles mais significatifs me fassent comprendre qu’elle n’a plus rien contre entrer dans mon jeu.
Sans lâcher mon étreinte, je descends le long de son corps pour me mettre à genou devant elle….. Au passage, je lèche ses petits seins et leurs pointes qui commencent à frémir…… J’embrasse son ventre, caresse son dos, ses fesses….. Je passe ma langue autour de son nombril…… Je finis de défaire la ceinture de mon pantalon et le baisse complètement……. Une fois à genoux, je reprends mes caresses sur tout ce que son corps peut offrir d’aspérités délicieuses pour mes mains….. Soupirs….. Mon slip commence à gonfler…..
« Hummmmm ! C’est bien agréable, tout ça, continuez, Philippe ! »
Encouragé, je persiste à lui lécher le bout des seins pendant que j’accroche le bord de son string tendu sur ses hanches….. Je passe mes pouces dessous et le descend lentement, par étape…. La vue des premiers poils de sa touffe accentue mon érection….. Celle du début de sa fente pleine de promesse tend brutalement mon sexe…. Sa touffe est dense, noire mais contrôlée. Elle doit régulièrement se faire faire le maillot !
Entre temps Marc est sorti des toilettes. Il a pris une douche pour s’humidifier le corps et s’est mis nu avant de rentrer dans la cabine. Il bande déjà un peu à la vue du spectacle de sa femme dans les bras d'un black d'un beau gabarit !
« Je vous dis quand la température est idéale ! »
Hélène me passe les mains dans les cheveux et ce geste affectueux me rassure sur son état d’esprit. Je finis de baisser son string complètement et lui confie :
« Je n’aime pas les femmes épilées ou complètement rasées. »
« Ca tombe bien ! Et toi ? Tu es épilé ? »
« Tu as la réponse à portée de main ! »
Je me remets debout et l’assoie sur le banc de bois, elle me baisse le slip en manoeuvrant comme il faut pour en sortir ma tige bien raide… Avec le sourire, elle me tire quelques poils…..
« Toi non plus tu n’est pas rasé, ça me plaît bien ! »
« C’est vrai ? »
« Mais t’es quand même gros, je ne sais pas si je vais y arriver. »
Une lueur d’inquiétude bien réelle passe dans ses yeux….
« Bien sur que tu vas y arriver ! »
Là, je passe une main derrière sa tête et lui fourre ma queue dans sa bouche. Elle manque d’étouffer mais s’applique à bien ouvrir sa bouche.
« Alors elle te plaît ma queue ? »
Elle essaie sans succès de répondre mais continue à s’appliquer…. Et c’est bon, décidément très bon !
« Caresses-moi les couilles. Vas-y ! »
Elle lève les yeux vers moi comme si elle n’avait pas bien entendu et qu’elle aimerait être sure.
« Oui malaxes-moi bien les couilles, vas-y ! N’hésites pas ! Une bonne petite salope comme toi ne devrait pas hésiter ! »
Marc sourit en entendant sa femme se faire traiter de salope par un autre homme…. La température monte dans la cabine du sauna…. En tout cas c’est très agréable ce qu’elle fait. Je me laisse malaxer les couilles et sucer pendant quelques minutes……
« Tu vois que tu t’en sors bien ! Faut pas t’inquiéter ! Elle passe partout, tu sais ! Elle sait se faire accepter même dans les passages les délicats:) »
Non, elle ne sait pas encore mais elle le saura avant de quitter Gstaadt ! Je l’aide à se relever, lui fait un sourire coquin et l’embrasse goulûment sur la bouche avant de la coucher sur le banc de bois. Un fois allongée et moi, à genoux à côté d’elle, je l’embrasse à nouveau et, tout en l’embrassant, je commence à forcer le passage pour mes doigts entre ses cuisses. Je la caresse de partout avant d’introduire sans effort ni précipitation un doigt dans son intimité. j’arrête de l’embrasser, elle me sourit, je suis son regard jusqu’à être sur d’avoir bien localisé son point G dans sa chatte trempée et lorsqu’elle se met à soupirer bruyamment j’introduis un deuxième doigt dans son sexe et caresse gentiment son clito avec mon pouce resté en dehors. Je suis sur que si j’accélère elle va jouir tout de suite alors, je temporise, profite des instants ou elle ouvre les yeux pour lui sourire….. Mais j’ai dû accélérer sans m’en rendre compte car elle se redresse sur les coudes et une de ses mains s’empare brutalement de mon sexe, commence à le branler…. Sans attendre, j’introduis un 3 ème doigt dans sa chatte et la branle avec énergie…. Ca fait rapidement un bruit d’humidité incroyable, des floc-flocs comme j’ai rarement entendus et elle se met à hurler qu’elle veut ma queue, qu’elle veut que je la baise….. Alors je la mets à plat ventre sur le banc, Marc s’approche et lui fourre sa queue dans la bouche pendant que je mets un préservatif et que je commence à la besogner énergiquement en levrette.
Je vérifie en même temps que j’ai tout ce qu’il me faut dans ma petite trousse de toilette, préservatifs, huile d’amande douce, gode anal etc, etc.…. Marc baise consciencieusement la bouche de sa femme tout en lui tenant la tête et finit par s’y vider complètement provoquant une réaction violente de rejet de la part d’Hélène qui a été obligée d’avaler.
« T’es dégueulasse, tu sais … tu sais…... »
Mais je la défonce au point de l’empêcher de dire à Marc ce qu’elle a envie de lui dire… Et puis elle finit par jouir, elle tremble de tout son être, ses bras essaie d'accrocher quelque chose qu'elle n'arrive à attraper et je l’accompagne de quelques râles évocateurs tout en n’éjaculant pas…...
« Marc, tu sais que j’aime pas ! Que je ne veux pas que tu te vides dans ma bouche ! »
« Oui, je sais et tu ne veux pas non plus que je t’encules, hein ? »
« Non plus ! »
« Alors c’est Philippe qui va s’en charger ! »
« Non, il n’en est pas question ! Hein, Philippe ? Il n’en est pas question ? »
J'aurais peut-être dû lui dire que non mais la vue de son petit trou pendant ce long moment où je l'ai ramonée m'a excité. Et puis, je me suis dit qu'à son âge son petit trou, je devrais arriver à le desserrer !
« Si, c’est bien le sujet du jour ! Vous allez sortir d’ici, je ne sais pas quand mais quand vous sortirez d’ici, je vous aurai défoncé le cul, ce cul que vous refusez à votre mari alors que, peut-être vous l’avez déjà accordé à vos amants ! »
« Je n’ai pas d’amants, je suis vierge et je veux le rester ! »
Elle essaie de se relever mais d’une main, je la plaque sans difficulté sur ce bancs. Une bonne claque sur les fesses, une plus douce sur la nuque….. Elle hurle qu'il n'en est pas question.... Dans le sauna, la température approche les 60°.
« Non, mais ça va pas ! »
Elle se reçoit une fessée mémorable, se met à pleurer….. Je m’assoie carrément sur le dos d’Hélène…….
« Hélène, tu fais chier maintenant ! Je ne suis pas venu à Gstaadt uniquement pour tes beaux yeux mais surtout pour ton cul, ma belle ! »
« Vous valez pas mieux que les autres ! »
Je lui remets une claque, elle m'énerve...
« Si, j'ai une plus grosse bite, pour toi !! »
« Bon Hélène, je vais d’abord mettre un gant en latex et changer mon préservatif, d’accord ? »
Pour toute réponse, elle pleure encore plus, nous traite de tous les noms, appelle au secours….. Je me relève et remplace mes fesses par un genou qui suffit à l’empêcher de bouger !
« Maintenant que je suis prêt, je vais vous arroser votre petit trou avec un filet d’huile d’amandes douces. Ca vous convient ? Et commencer à introduire un doigt ! Marc, vous pouvez lui écarter les fesses ?»
Marc ne se fait pas prier et, à genoux devant elle, le ventre appuyant sur la tête d'Hélène, il lui tient les fesses écartées. J’y plante un doigt. Hélène continue de protester, de nous insulter, de nous promettre l’enfer, je lui claque les fesses pour la faire taire…. J’y plante un deuxième doigt, elle s’arrête quelques instants de pleurer puis recommence et entre deux sanglots…..
« J’ai mal, vous me faites mal, bande de tarés ! » Un claque, des pleurs….. Je plante un troisième doigt…… Elle nous ressert qu’elle a mal, qu’on est une bande de tarés ! Une claque, des pleurs….. le gode anal……
« J’ai mal, vous me faites mal, bande de tarés ! » Un claque, des pleurs….. le gode anal au fond……
Je me dis que ce n’est pas gagné ! Je remets de l’huile dans son trou à peine ouvert et me dit que je dois y aller et que ça va bien finir par le faire……
J’ai mis cinq minutes pour passer mon gland….. Hélène disait qu’elle avait mal mais pleurait moins…… Son mari recommençait à bander……. Un quart d’heure pour passer les vingt centimètres suivants…… Quand j’ai été au fond, Hélène ne pleurait plus. Au plus quelques sanglots épars.
Marc se recule un peu, attrape sa femme par les cheveux et lui plante sa queue dans la bouche.... sans ménagement.
Je ressors doucement mon sexe et quand je vois son trou béant bien formé, je finis ma petite bouteille d’huile dedans ! Et puis je l’enfile brutalement, d'un coup sec !
« Maintenant, ma cocote, tu vas savoir ce que c’est que de se faire enculer !! »
Là, je ne sais pas ce qui m’a pris mais je l’ai vraiment défoncée, avec les encouragements de son mari. La pauvre Hélène ne dit plus rien, ne se plaint plus, ni de ma queue ni de celle de son mari déchargeant une nouvelle fois dans sa bouche. Hélène semble soit s’en foutre, c'est le cas de le dire, soit elle commence à y trouver un plaisir d’un genre nouveau, insoupçonné pour elle, je ne sais pas mais elle ne me demande plus d'arrêter, elle soupire comme si, une fois les premières pénétrations passées et les choses lancées, elle trouve ça plutôt sympa, agréable, même. J’ai même l’impression qu’elle finit par y prendre du plaisir…. Je commence à entendre de profonds « Oui » soupirés... J'ai les couilles en feu, prêtes à se déverser mais quand j'entends :
« J’ai envie de ta queue, Philippe, de te faire jouir, de te faire gicler, j’ai envie que tu me laisses faire .»
Alors je quitte son cul, j'enlève le préservatif. Elle se retourne vers moi et je lui confie mon chibre raide comme un manche de pioche et mes couilles à la limite. Elle me branle à deux mains comme si ça devait être sa dernière fois. Marc, excité par le situation se pointe pour l'embrocher dans son trou encore béant. Hélène se rebiffe.
« Non pas toi ! Lui ça suffit ! »
Alors, je me suis fâché :
« Et pourquoi donc pas lui ? Ca ne va pas ? T'es qu'une poufiasse qui en a envie mais ne veut pas le dire ! T'es qu'une hypocrite qui ne mérite que ce qu'elle a et qu'elle va avoir !»
Je l'ai attrapée par les cheveux et je lui ai fourré ma bite dans la bouche au plus profond. Elle était tellement surprise qu'elle ne s'est même pas rendu compte que Marc l'enculait....
« Tu vois ma belle, t'es en train de te faire enculer par ton mari et tu vas en prendre plein la bouche, la gorge et en avaler à moins que je ne change d'avis. Une bite dans le cul et une dans ta chatte, t'en rêves depuis combien de temps, hein ? Dis-moi !! »
Avec ma bite en bouche, elle ne pouvait pas raconter grand-chose.....
« T'en penses quoi, Marc ? »
« Heu …. »
« OK, redresses là face à moi et gardes ta queue dans son cul et tiens la bien qu'elle ne t'échappe pas ! »
Quand elle a eu la bouche libre, elle a hurlé..... Je lui ai mis deux claques et l'ai empalée sur ma queue en la prenant sous les cuisses !
« Allez, Marc, encules la fort, elle aime ça, tu sais ! »
Marc l'encule comme il doit en rêver depuis un moment et je le vois jouir longuement quand la tête d'Hélène, comprenant qu'elle n'a vraiment rien à tenter, se pose sur mon épaule.....
« J'ai une sacré envie de me vider dans ta chatte ma chérie mais je n'ai plus de préserv et ça ne serait pas cool alors, retour à la case précédente ! »
« Oh non ! »
« Oh si ! »
Marc s'est retiré. Je la mets à genoux de force et lui fourre à nouveau ma bite dans la bouche avec la ferme intention d'y jouir. Elle manque d'étouffer, sa respiration devient haletante, elle hoquette et pour m'amuser je lui pince le nez, elle manque d'étouffer, je m'en fous...
« Allez, salope, bouffes la ma queue, t'aimes pas qu'on jouisse dans ta bouche ? Tu vas être gâtée, ma chérie, je sens que la vague monte et que rient ne peut l'arrêter. Caresses moi les couilles et tu en auras fini plus vite ! »
Le pire c'est qu'elle s'est mise à me caresser les couilles presqu'avec tendresse.
J'ai giclé une fois, elle m'a regardé sans pouvoir dire quoi que ce soit, d'un regard désapprobateur....
A la seconde décharge, elle a tout avalé et je l'ai laissé respirer avant le lui enfoncer ma queue au fond pour la troisième et quatrième décharge et de me retirer pour lui asperger la figure du reste de mes couilles !
Après quelques secondes pour récupérer, elle s’est levée, m’a fichu une gifle et est partie à la douche….
« T’en fais pas, c’est Hélène ! » m’a dit son mari avec le sourire.« En tout cas, tu l’as bien baisée. Merci ! »
Hélène a disparu, remontée dans sa chambre, sans me dire au revoir. Il était temps de quitter le sauna mais avec Marc on a promis de se tenir au courant……
En fait, je vous raconte cette histoire, parce que, ce matin, j’ai eu un message d’Hélène. Je ne m’y attendais pas du tout. Elle aimerait qu’on se revoie mais sans que son mari soit au courant.
Philippe